Bonjour et bienvenue sur mon site de généalogie familiale ! Passionné de généalogie et d'histoire depuis plusieurs années, j'ai créé ce site car je souhaite faire connaître l'histoire de nos ancêtres aux membres de ma famille que le sujet intéresse (cousin-cousines, germains) ainsi qu'à toutes personnes liées à notre famille d'une manière où d'une autre ... pour que les petites histoires ne se perdent pas et continuent à enrichir notre culture et notre histoire familiale. Je vous invite à faire un voyage dans le temps, sur le chemin des villes et villages où ont vécu mes ancêtres.
La famille Hugon est originaire de Pierre-Buffière (Hte-V.) où elle apparaît pour la première fois en 1320 dans une transaction passée entre Gaucelin, seigneur de Pierre-buffière et les habitants de cette paroisse. Selon Bernard Cherin (1), généalogiste du roi (1718-1785), elle remonte sa filiation suivie jusqu'à Bertrand Hugon, chevalier, qui mourut avant le 3 janvier 1366, date à laquelle il serait rappelé dans un aveu qui aurait été reçu par Jean Hugon, chevalier, son fils. Ils exerçaient souvent l'office de notaire. |
||
Les Hugon se sont agrégés à la noblesse au début du XVIe siècle. Depuis le milieu du XVIIIe siècle, une branche toujours subsistante de la famille Masgontier, de Saint-Yrieix en Haute-Vienne, nom du fief de Magoutière des Hugon a présenté des titres. La tour, unique vestige civil du monde féodal est un donjon en pierre de plus de 20 mètres de haut. Elle est construite en haut de la rue de la Pierre de l'Homme. Le 2e étage de la tour était réservé au vicomte de Limoges lorsqu'il faisait escale.
|
||
I - Pierre Hugon du Prat, né vers 1390, habitait Pierre-Buffière en Haute-Vienne. Il aurait été chevalier. Il épousa vers 1410 Catherine du Prat, fille d'un notaire de Pierre-Buffière (Gérald du Prat), et aurait fait son testament le 18 novembre 1439. Issus de ce mariage 6 enfants :ˆ 1 Guillaume qui suit |
||
Notes : (1) Etienne Hugon fut témoin le 27 juillet 1441 de l'accord passé entre Foulques de Jaunhac, écuyer, seigneur d'Eyjeaux et les habitants de Limoges au sujet de la construction du château d'Eyjeaux. En 1441, Foulques de Junhac, écuyer, reçut l'autorisation de bâtir une demeure de plaisance avec quatre tourelles aux angles, une lucarne de défense en encorbellement au-dessus de la porte, une tour d'escalier en vis et une palissade autour du château. Tout autre dispositif de fortification était interdit. Cet édifice est de plan rectangulaire. Devant la façade principale d'entrée s'élève une tour carrée demi hors-oeuvre abritant l'escalier en vis. Une grosse tour circulaire est bâtie sur l'angle sud-ouest. Les trois autres angles sont dotés de tourelles en échauguette. Quatre tourelles étaient prévues en 1441. Une quatrième a sans doute été édifiée à l'angle sud-ouest du bâtiment puis démolie pour faire place à la grosse tour d'angle circulaire. A l'intérieur, cheminées sculptées. |
||
1-Aubert qui suit, clerc de Pierre-Buffière, qui fit son testament en 1473.
|
||
Notes : (1) Etienne Hugon, qui est l'auteur de la branche des seigneurs des Farges, épousera Catherine de Jaunhac en 1477 et fera son testament en 1511. | ||
|
||
1 Nicolas qui suit
|
||
Sources : Archives de Jean-Hugon de Masgontier - Nobilière Universel de France (tome 2 - 1ère partie -page 285) publié par le généalogiste M. de Saint Allais en 1832.. |
||
1 François qui suit 5 Marguerite Hugon, légataire de 800 livres « une fois habillée selon son état » en 1569.
|
||
Notes : (1) Jacques Hugon, tonsuré en 1560, prieur de Lascoux en 1564, il hérita de son père de 800 livres . Il devint prieur de Magoutière sur résignation de son oncle en 1564 et l'était encore en 1586. | ||
1 Annet qui suit
|
||
Notes : Homme d'armes dans la Compagnie de Monsieur de Chazeron ; le sieur de Lanoaille, juge de Chamberet, attesta le 5 décembre 1598 qu'il avait pris en cette qualité les armes pour le service du roi. En vue de sa maintenue de noblesse il requit le même jour de plusieurs gentilshommes de la région de Chamberet l'attestation qu'il avait longtemps porté les armes sous la charge de Monsieur de Chamberet, gouverneur du Limousin. Le 15 décembre suivant le seigneur de Chazeron certifia qu'il était homme d'armes dans sa compagnie et qu'il fit le service requis depuis l'armée de Rouergue où feu Monsieur le duc de Joyeuse commandait pour le roi et toujours a continué aux occasions qui se sont offertes, même à la bataille d'Issoire et au voyage d'Artois. Il fut maintenu dans sa noblesse d'ancienne extraction par les commissaires au régalement des tailles en Limousin le 22 avril 1599, sur preuves remontant à 1456 | ||
1 Antoine Hugon, né vers 1590, qui a constitué la postérité de la branche aînée.
|
||
Notes : (1) Annet Hugon reçut, le 19 janvier 1649, une lettre du duc de Ventadour l'informant "qu'il se passait des desordres à Paris" et le priant "de se disposer avec ses amis pour se rendre tous ensemble en cette ville". Il acquit des terres le 18 mars 1653 de Léonard de Scoeux, laboureur et fut maintenu avec son frére aîné Antoine dans sa noblesse d'ancienne extraction par d'Aguesseau, intendant de Limoges, en 1667 sur preuves de 1556. Le 31 octobre 1670 le roi lui accorda une pension de 3000 livres pour élever ses dix enfants. |
||
A partir du début du XVIIe siècle, Malte se transforma en véritable État corsaire et devait incarner le modèle de la course chrétienne, en raison de l’importance de cette activité dans l’île, et du maintien par le pouvoir lui-même, incarné par l’Ordre, d’une idéologie de la croisade dans cette nouvelle activité. L’Ordre et l’île pratiquaient ainsi unanimement la course, au nom du maintien de la lutte contre l’ennemi musulman. La course maltaise était en effet voulue par l’Ordre comme une perpétuation de la croisade et pratiquée comme telle. En 1653, le chevalier François Hugon se voit confier le commandement d'un de ces navires ... |
||
VIII Léonard HUGON du PRAT, écuyer, seigneur de SCOEUX (en Chamberet, Corrèze) et d'Arsouze (en Soudaine-la-Vinadière, Corrèze). Fils puîné d'Annet Hugon et de Peronnelle de Villelume. Il acquit des terres le 18 mars 1653 de Léonard de Scoeux, laboureur et fut maintenu avec son frère aîné Antoine dans sa noblesse d'ancienne extraction par d'Aguesseau, intendant de Limoges, en 1667 sur preuves de 1556. Le 31 octobre 1670, le roi lui accorda une pension annuelle de 3 000 livres pour élever ses dix enfants. |
||
1 François
|
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36862s/f293.image.r=hugon |
|
IX Léonard Hugon de Masgonthière épousa Marie de Faure, fille de Jacques de Faure et de Catherine de Vallon le 11 octobre 1691. Il fit son testament le 30 novembre 1710. de ce mariage naquirent 5 enfants : 1 François
|
||
X Jean-Bertrand HUGON de MASGONTIER, écuyer, sieur de la Gallerie, garçon ordinaire de la chambre du roion ordinaire de la Chambre du roi en survivance de Bertrand MASGONTIER en 1715 , né en 1690. Le 13 août ou 20 septembre 1713, à Saint-Yrieix-la-Perche en Haute-Vienne, il épouse par contrat Marie QUEYROULET. Il décède le 27 janvier 1744 à Saint-Germain-en-Laye dans les Yvelines, à l'âge de 55 ans. De son mariage, naquirent :
1 Jean Hugon de Masgontier (1) écuyer, né le 2 juin 1717 à Soudaine-Lavinadière (19262), décédé le 5 avril 1784 à Versailles (78646) à l'äge de 66 ans. |
||
Notes : (1) Jean Hugon de Masgontier était garçon ordinaire de la Chambre du roi en 1747, maître d'hôtel du roi, gentilhomme ordinaire, premier valet de chambre du comte de Provence. | ||
XI Guillaume-Nicolas de Masgontier, né le 5 décembre 1724 à Saint-Germain-en-Laye, Yvelines, décédé le 9 mars 1786 à Versailles, Yvelines, à l'âge de 61 ans.. Huissier ordinaire de la Chambre de Madame Henriette (1727-1752) de France en 1751 puis de Madame Adélaide de France (1732-1800), filles de Louis XV. Marié le 7 janvier 1751 à Paris, avec Louise Marguerite TRESLIN 1716-1791. De ce mariage naquirent :
Louis Guillaume de MASGONTIER 1751
|
||
XII Guillaume-Nicolas de Masgontier Né le 24 mars 1759 à Versailles (Yvelines), décédé le 28 septembre 1827 à Paris, à l'âge de 68 ans. Huissier en 1803, receveur de la barrière de la Porte de Paris. Marié peut-être le 17 février 1792 à Paris, avec Marie Thérèse FAGUET 1761-1802. Enfants :
Pierre Guillaume de MASGONTIER 1792
Après le décès de Marie-Thérèse Faguet, il épousera le 21 février 1803 un plus tard Charlotte-Julie Drevet 1770-1825 dont il eut :
Blanche HUGON de MASGONTIER †
|
||
XIII Louis-Nicolas de Masgontier né le 2 mai 1805 à Magny-en-Vexin, Val-d'Oise, décédé le 3 février 1871 à Saint-Aulaye, Dordogne, à l'âge de 65 ans. Lieutenant trésorier de gendarmerie, capitaine à Libourne en 1852, chevalier LH. Marié le 7 mars 1847 à Saint-Aulaye, Dordogne, avec Marie Anne Hortense Cécile Victorine de GÉRARD LAFÛTE 1822-1908 dont :
Jean Jacques Louis Albert de MASGONTIER 1848-1921
|
||
XIV Jean-Jacques-Louis-Albert de Masgontier, né le 10 août 1848 à Saint-Aulaye, Dordogne. Décédé le 19 juin 1921 à Saint-Aulaye, Dordogne, à l'âge de 72 ans. Marié le 20 octobre 1869, à Saint-Aulaye avec Marie Louise VIAULT 1851-1938 dont :
Marie Marguerite Marthe Blanche de MASGONTIER 1870-1870 |
||
XV Jean-Baptiste-Nicolas Hugon de Masgontier, né le 19 février 1874 - Saint-Aulaye, Dordogne. Marié le 17 avril 1900 à Saint-Félix en Charente avec Emma BIROT BREUILH (1877-1965). Décédé le 19 avril 1954 à Saint-Aulaye, à l'âge de 80 ans. Ils eurent 2 enfants :
Marguerite HUGON de MASGONTIER 1901-1997 |
||
XVI - Ferdinand-Marie-Nicolas-Robert Hugon de Masgontier, né le 24/10/1904 au Domaine de La Vallade en Saint-Aulaye (24375), notaire à La-Roche-Chalais (24354). Il épouse à Vanxains (24564) le 23 décembre 1930 ,en premières noces, Marie-Pauline-Elisabeth ("Lily") Léonardon, fille de Jean-Baptiste-Joseph-Maxime Léonardon et de Marie-Germaine Cheyrade, née le 08/10/1907, décédée à Saillans (33364) le 17/02/1965 à l'âge de 58 ans. Ils eurent 3 enfants : 1 - Marie-Germaine-Colette Hugon de Masgontier, née le 07/12/1931 à La-Roche-Chalais (24354), décédée accidentellement à La Roche-Chalais le 06/07/1939
|